La cartographie des risques est un dispositif du contrôle interne dont le suivi permet de prendre les mesures et dispositions qui s’imposent pour protéger l’organisme contre des risques dont la survenance pourrait lui être préjudiciable. La mise en œuvre de cet outil résulte du constat selon lequel les risques inhérents à l’activité de l’organisme n’étaient pas encore tous identifiés en vue de leur maitrise, au regard de l’impact de leur survenance éventuelle sur l’atteinte des résultats, le patrimoine et l’image de l’organisme.

Les achats groupés consistent à rassembler différents numéros de référence de médicaments et de produits de santé pour plusieurs prestataires de santé dans un appel d’offres unique.

Cette solution entraîne de nombreux bénéfices pour les systèmes de sécurité sociale et de santé, notamment:

Il est constant que toute activité au sein d’une organisation est exposée à divers risques, qui peuvent négativement impacter le bon déroulement des activités, l’atteinte des résultats, la création de valeur, voire déteindre gravement sur son image de marque. La fraude étant l’un des principaux risques identifiés, et dont les conséquences peuvent être extrêmement néfastes, a ainsi fait l’objet d’un examen approfondi et de mesures de sauvegarde et d’alerte, regroupées sous le dispositif antifraude.

Le système de gestion des pensions des fonctionnaires et agents de l’Etat, géré par l’Institut de prévoyance sociale – Caisse générale de retraite des agents de l’Etat (IPS-CGRAE), a été confronté pendant longtemps à de graves difficultés ayant causé un déficit cumulé au 31 décembre 2012 de plus de 288 milliards de FCFA, dû en grande partie au non-paiement effectif et intégral, sur plusieurs exercices, des cotisations sociales par les organismes publics affiliés.

Le Programme de la Sécurité de la vieillesse (SV) est le régime de retraite le plus important du gouvernement du Canada. Il est financé par les recettes fiscales générales, ce qui signifie que les bénéficiaires n’y cotisent pas directement. Il permet aux retraités qui remplissent les conditions requises de percevoir un revenu de base, sous la forme de la pension de la SV et du Supplément de revenu garanti (SRG).

Les trois mille personnels, utilisateurs du système d’information de la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) (applications métiers, bureautique et infrastructure), lorsqu’ils étaient butés à une difficulté technique, devaient recourir, par voie téléphonique ou par mails, aux informaticiens du siège. Il fallait ainsi attendre que l’un d’eux soit disponible pour écouter et, le cas échéant, expliquer longuement comment il fallait procéder pour la résolution du problème à distance.

A Madagascar, une grande partie de la population ne bénéficie pas de couverture sociale, notamment les producteurs ruraux. Depuis plus d’une décennie, les politiques de l’Etat ainsi que la législation ont prévu l’extension de la couverture sociale à l’ensemble de la population active. Toutefois, à part celui des travailleurs salariés, aucun système n’a été mis en place jusqu’à ce jour pour assurer cette couverture sociale généralisée.

Dans l’objectif d’améliorer l’efficience et l’efficacité de l’administration de ses prestations monétaires, la Banque d’assurance sociale (Banco de Previsión Social – BPS) a mis en place une application qui permet de gérer automatiquement les allocations maternité en fonction des éléments nouveaux enregistrés dans le dossier de l’assurée, la prestation étant ensuite octroyée selon les conditions établies dans la réglementation en vigueur. Cette solution permet aux bénéficiaires d’accéder aux prestations sans avoir à se rendre dans une agence de la BPS.