Dans tout le Canada, la pandémie de COVID-19 a rendu la vie des personnes âgées plus difficile et a augmenté leurs dépenses. Pour soutenir les personnes âgées en ces temps difficiles, Emploi et Développement social Canada (EDSC) a mis en place un paiement unique non imposable de 300 dollars canadiens (CAD) pour les personnes éligibles à la pension de la Sécurité de la vieillesse (SV), ainsi qu’un paiement non imposable supplémentaire de 200 CAD pour les personnes éligibles au Supplément de revenu garanti (SRG).

S’adapter aux changements de délais? Check. Concilier de nombreuses parties prenantes avec des intérêts divergents dans un environnement particulièrement complexe? Check. Remettre en cause le statu quo en toute occasion? Check.

Notre objectif est de générer un panorama global de la stratégie pluriannuelle de transformation des services d’Emploi et Développement social Canada (ESDC), y compris des bonnes pratiques axées sur le design thinking et l’innovation pour engager un discours avec les employés.

Le Supplément de revenu garanti (SRG) est une prestation mensuelle non imposable offerte aux prestataires de la pension de la Sécurité de la vieillesse (SV) ayant un faible revenu et vivant au Canada. En janvier 2017, les lignes directrices relatives au SRG ont été modifiées, en conséquence de quoi tout bénéficiaire du SRG dont le partenaire avait été admis dans un établissement de soins de longue durée n’était plus considéré comme étant «célibataire».

La Stratégie d’amélioration des services (SAS) du Régime de pensions du Canada (RPC), élaborée par Emploi et Développement social Canada (Employment and Social Development Canada − EDSC), s’est achevée avec succès en 2022. Cette stratégie, déployée sur six années, visait à répondre aux défis qui pesaient sur la fourniture des services en raison du nombre croissant de bénéficiaires et de l’évolution de leurs attentes en matière de services gouvernementaux.

Les programmes de la Pension de la sécurité de vieillesse (SV) et du Régime de pensions du Canada (RPC) sont les programmes de pension publique du pays. Fondé sur des conditions de résidence, le programme de la SV fournit un revenu minimum aux personnes âgées et contribue au remplacement de leurs revenus durant leur retraite.

Bien souvent, le retour au travail n’est pas considéré comme une mission prioritaire des systèmes d’indemnisation des accidents du travail, en particulier aux Etats-Unis.

En 2014, des modifications ont été apportées à la Calculatrice du revenu de retraite canadienne (CRRC) afin de tenir compte des récentes réformes des régimes publics de pension et de tirer parti des outils Web les plus avancés. Cette transformation de la CRRC en une application dynamique, accessible à partir d'un appareil mobile, a été plébiscitée.

Le Programme de la Sécurité de la vieillesse (SV) est le régime de retraite le plus important du gouvernement du Canada. Il est financé par les recettes fiscales générales, ce qui signifie que les bénéficiaires n’y cotisent pas directement. Il permet aux retraités qui remplissent les conditions requises de percevoir un revenu de base, sous la forme de la pension de la SV et du Supplément de revenu garanti (SRG).

Elle a procédé à une revue complète de ses processus d'affaires et façons de faire. L'organisation du travail a été repensée notamment par l'implantation d'une solution technologique, d'un bureau virtuel reliant les équipes localisées dans plusieurs sites et la refonte de la structure administrative. Les résultats en terme d'indicateurs de performance ont dépassé les attentes, et ce, sur une très courte période. En 2008, 9 518 demandes étaient en attente de traitement, alors qu'en 2012, l'inventaire est passé à 3 600 demandes, soit une diminution d'environ 60 pour cent.

Dans le but de donner un sens à sa vision, qui est d'être « un leader innovant de par son engagement continuel à l'amélioration des services aux clients desservis par un personnel compétent », elle s'est dotée de nouveaux outils. Pour assurer l'adéquation entre qualité et quantité du travail attendu, pérenniser les façons de faire et minimiser la perte d'expertise causée notamment par les départs à la retraite, la DRL a imaginé, élaboré et déployé localement, les produits suivants:

Il permet de connaître les attentes et la satisfaction des clients à l'égard du service offert et contribue à son amélioration, tout en assurant la reddition de comptes sur les engagements de la Régie envers sa clientèle.

L'élaboration du processus s'est fondée sur l'expérience acquise et sur les préoccupations de la haute direction et des unités opérationnelles. L'appui de tous les intervenants a d'ailleurs constitué un facteur de succès dans sa mise en place.

• le plus récent rapport actuariel prévu par la loi que l'actuaire en chef a préparé et présenté au Parlement;
• les dernières estimations de l'actuaire en chef;

Il insiste en particulier sur la nécessité de veiller à ce que les programmes de court terme d'adaptation au marché du travail soient en phase avec les politiques de long terme visant à assurer la sécurité du revenu. Il montre également que des réformes doivent être apportées au système public de retraite du Canada, pour qu'il incite davantage à travailler. Après une introduction, l'article présente divers programmes d'adaptation, décrit le système public de retraite, évoque les carences et les défis à relever ainsi que les réformes mises en ouvre.

Ces ajouts à sa prestation de services ont amené l'organisation à revoir ses façons de faire et à guider la clientèle vers l'utilisation des modes les plus efficients, tout en respectant son libre choix et la qualité des services. Parmi les modifications apportées, une stratégie, comportant un plan d'action et des cibles à atteindre, a été élaborée. Son déploiement a débuté en 2007 et elle a été mise à jour selon les nouveautés apportées à la prestation de services. En cinq ans, tous les objectifs ont été atteints et la clientèle s'estime toujours satisfaite des services offerts.

En vertu de la législation, le Bureau de l'actuaire en chef (BAC) est tenu de produire des rapports actuariels réguliers dans lesquels il évalue la viabilité du Régime de pensions du Canada (RPC). Il est seul responsable du contenu du rapport et des hypothèses retenues pour l’établir.

Le BAC établit les hypothèses qu’il retient en suivant une procédure claire et bien documentée.